LES HOMMES DE L'OMBRE
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Les Hommes de l'Ombre
Ce n'est pas une nouvelle version du film de Jean Pierre Melville (1969). Juste un éclairage sur des hommes invisibles et indispensables, un coup de projo dirait-on du côté de Cannes.
Dés l'ouverture du toril, l’aficionado a los toros est dans son élément. Les commentaires jaillissent : présentation, type de sortie, comportement, le tout dans un sabir qui mériterait à lui seul, une thèse linguistique.
Cette porte qui débouche sur la piste, c'est l'ultime étape citadine de la vie d'un toro bravo (indulto excepté).
Entre la ruralité du campo et le ruedo, s'est effectué un voyage à la charge des « passeurs » les hommes de l'ombre.
Synopsis
Demain, embarquement 8h, l'automne c'est à Potron Minet, au printemps en pleine lumière.
Chacun arrive à 7h, voire plus tôt, si « a caso » ; dernières vérifications : portes, martellières...
Chaque fermeture scelle une destinée et une aventure commune avec le toro. Cela explique peut être, le silence dans les manœuvres.
Le dernier est dans le véhicule ; « Viva la Virgen del Rocio » est plus touristique ; impeccable, super, bien sont suffisants.
Le dédale du camion sera suivi par celui des corrales.
Un cercado au mas est vide.
Merci à Ra, Ro, Phi, Da, Ja, Pat et les autres
Toute ressemblance n'est pas coïncidence
Jacques Lanfranchi « El Kallista »
mercredi 22 mai 2024