LA BONNE DISTANCE par Alain Montcouqiol
LA BONNE DISTANCE,
Alain Montcouquiol « El Nimeño » (1) a du très souvent employer ce mot dans le cadre taurin, pratiquement une décade après le « Fumeur de souvenirs » (2012), il nous propose son quatrième livre : La bonne distance.
L'ouvrage dit l'omniprésence de l'Absent : le torero et sa statue, mais aussi le statut d 'un frère, qui jaillissent au fil des mots, à l'aune du texte.
Un art de la plume où se mêle la gravité technique de Jose Tomas, l'ascèse de Diego Urdiales et l'inspiration d'un torero gitan.
Un recueil de Vies où se télescopent les héros et les vaincus, les humbles et phénomènes, tous sublimés par les rêves qu'engendre la Corrida.
Un voyage dans la réalité ou le songe, la souffrance et le plaisir, est-il prose ou poèsie ?
A dévorer avec avidité, ou à déguster avec délectation .
« Écrire, Prier, Toréer imposent des engagements comparables. Il ne faut rien attendre et tout donner ». Simon Casas (2)
Photo Lucien Clergue
Jacques Lanfranchi « El Kallista »
Mardi 21 septembre 2021
La Bonne distance - 28x13 – 96 pages – 13,50 euros . Éditions Verdier
-
Clin d’œil du Dr Pierre Mialane à Gregorio Corrochano qui titra dans ABC en 1925 :« Es de Ronda, se llama Cayetano » un article sur Niño de la Palma (Père d’Antonio Ordoñez), le revistero français, donna le titre d'un article consacré à Alain Montcouquiol :
« Es de Nîmes, se llama « El Nimeño ».
-
In « l'envers de la cape » (Simon Dombs alias Casas) 2008 - Fayard